samedi 25 avril 2015

25/04/2015 Petite caricature psycho-politique


J’Il me semble que la lutte pour le pouvoir entre les tordus et les honnêtes gens a depuis fort longtemps été remportée  en France et, malheureusement, par les nuisibles. La France n’est-elle pas une dictature centralisatrice depuis la naissance de la cour du roi, qui a transformé de grands seigneurs en petits marquis, et permit au monarque et à sa technocratie de tout diriger depuis sa bonne ville de Paris ?

C’est ainsi que la petitesse a vaincu la grandeur, et il me semble que cette funeste victoire a depuis marqué notre pays du sceau de la bêtise.  Ce fût l'acte de décès de la plus formidable concentration de peuples européens qui, gérée harmonieusement, eut pu créer une sorte de Suisse taille XXL, ayant en plus un accès maritime exceptionnel qui manque à nos cousins helvètes.

Au lieu de cela le centralisme imbécile, qui atteint peut-être actuellement son acmé, a peu à peu asséché l'âme des humains peuplant ces terres, tant les centralistes (ou constructivistes, socialistes ou étatiste, comme l'on veut) sont au fond des gens mû par une pulsion de mort inconsciente, qui leur fait préférer la certitude du néant à l'incertitude du lendemain.

En disant cela j'ose une lecture psychanalytique entre les centralistes et ceux que je nommerai les libertariens (pour suivre les termes de l'un de mes maîtres, Murray Rothbard), car je pense que c'est au fond de la psyché humaine que se niche l’explication de  tous les phénomènes humains, même si ceux-ci requiers pour une analyse détaillée bien d'autres outils (histoire, philosophie, sociologie, économie etc...).

A ce titre je me livre au petit exercice psychologique suivant :

Divisons donc l’humanité en 2 tendances, que nous représenterons caricaturalement et pour la clarté du propos en 2 groupes de personnes, tant il me semble que ces tendances coexistent en fait chez chacun à des degrés variables:

– Groupe 1, ceux qui veulent vivre perpétuellement en objet de la mère, rester un foetus nourri complètement par autrui et sans conscience, et en réalité ne pas naître réellement.

– Groupe 2: ceux qui acceptent la naissance ,malgré le choc qu’elle induit. Ceux-là  ont souvent une instance paternelle qui vient couper le cordon ombilical, les obligeant ainsi à trouver leur voix – et leur voie- propre de par le vaste monde, à naître « réellement » au sens psychique du terme, c’est-à-dire qu’elle les décide à se constituer en tant qu’individu unique, ontologiquement indépendant des autres.
Ceux du groupe 1 recherche la jouissance permanente, la sensation de satiété. Ceux du groupe 2 sont mû par le désir, et ils cherchent sans cesse de nouveaux objets à désirer.

En terme d’action, le groupe 1 n’a qu’une solution: asservir les membres du groupe 2 pour éviter la sensation douloureuse du manque, qui est inhérent au fait de devoir aller chasser soi-même sa nourriture, car avant de s’en repaître il faut d’énormes efforts afin de la capturer ou de l’élever. Pour éviter cela ils doivent obliger leurs congénères du groupe 2 à les nourrir sans relâche, et ils ont tendance à considérer que ceux-ci leur doivent toujours plus, puisqu’ils ignorent le prix réel de la recherche de nourriture. Ce sont des sociopathes du pouvoir, pour qui considère l'individu du groupe 2 au mieux comme des serfs, au pire des modèles incompréhensibles et menaçant, souvent les deux à la fois.

Les individus du groupe 2 sont, eux, concentrés sur la construction d’investissements à même de leur amener des réponses et des bénéfices A TERME. Ils pensent qu’il faut investir et semer, avant de récolter –peut-être- les fruits de leurs efforts passés. Ils sont donc les moteurs qui doivent activer leur bénéfice éventuel futur. La logique qu’ils développent ainsi fait donc naturellement qu’ils refusent une appropriation forcée par autrui des fruits de leurs efforts, et par symétrie, la captation des fruits d’un effort dont ils n’ont pas été moteurs.

Le groupe 1 est de fait rempli de bébé déguisés en adultes, qui voient les autres comme une prolongation de la matrice maternelle originelle qui doit assurer leur bien-être sans contrepartie.

Le groupe 2 est constitué d‘adultes assumant la sortie de la vie intra-utérine malgré la douleur que cela engendre, et qui, en explorant le monde, trouvent peu à peu moults choses passionnantes à y faire, dans une réalité extérieur riche et changeante, dont ils ont su se distancier pour interagir avec elle, malgré les peurs qu’elle peut leur causer parfois.

Je postule bien sûr que les centralistes sont le groupe 1, et les libértariens le groupe 2.

Si l'on applique cette sommaire analyse à la France, les analogies sont légions, mais il me semble que l’on peut les résumer toute ainsi: l'état maman centralisateur qui décide de tout pour tous règne presque sans partage depuis l’éclosion versaillaise: guerres stupides innombrables, abandon idiot des conquêtes réalisées par nos grands explorateurs, missions colonisatrice folle, vol légal appelé impôt érigé en règle morale indiscutable, endettement quasi soviétique aujourd'hui (57% du PIB là où la popovie n'a jamais pu dépasser 66% du même ratio dixit les spécialistes du sujet)...

Il ne reste plus qu'à espérer que cette dictature des centralistes  qui s'affirme de siècle en siècle en France va finir par imploser sous le poids de sa tendance naturellement suicidaire, mais sera-ce pour laisser la place à une organisation sociale plus intelligente, ou pour nous abîmer définitivement? Croire que "la vérité l'emportera toujours sur le mensonge" est en l’occurrence un pari qui en l'état -sans jeux de mots- me semble plus relever de l’acte de foi que d’une déduction logique...

mercredi 11 mars 2015

03/03/15

Le rugby, miroir de nos vies

Je considère le rugby comme un art de vivre plus qu’un sport. Seul sport de combat collectif, je suis persuadé qu’il illustre chez les nations majeures qui s’y adonnent, l’envie de se battre pour faire exister l’âme d’un peuple. Le rugby est ce champ d’expression (généralement) contrôlé de la pulsion de combat, qui contribue à sublimer notre instinct guerrier en quelque chose de plus noble. Il est un carrefour où se rencontrent volontés et décisions personnelles et collectives, où chacun agit pour soi et pour l’équipe, par soi et par l’équipe, une alchimie secrète de ce qui nous lie et nous sépare. Chorégraphie trop complexe pour être modélisée dans des tactiques rigides, le rugby est un art du cheminement où chacun doit suivre une trame collective en adaptant simultanément et sans cesse sa posture individuelle.

C’est donc avec une grande tristesse que j’ai reçu samedi dernier l’avis de décès du XV de France. Plus exactement, un avis de zombification. Quinze et quelques pélots erraient dans un champ, atterrés à l’idée de prendre une quelconque responsabilité avec le ballon, sous l’œil vaguement ennuyés de 80 000 bobos retraités blasés et avinés. 

Dans ce jeu d’hommes au sens nobles du terme, une petite nation britannique leur a donné samedi dernier à Paris une énième leçon d’humanité. Les diables rouges furent soudain comme des êtres face à des robots. Car voilà ce que produit sur nous l’autoritarisme collectiviste auquel les cousins grands-brittons n’ont jamais vraiment cédé. Il nous transforme en machines incapables de penser par elles-mêmes, incapable de volonté propre, incapable de s’adapter aux adversités pour les dominer, de se révolter sous la mitraille pour emporter d’une charge la bataille compromise. La psychologie de ces gamins en bleu est l’image même de la tangente mentale que prends ce peuple, celle du néant collectiviste, où l’être humain n’existe plus qu’en tant qu’entité abstraite, objet du Dieu décideur, qu’il s’appelle l’Etat, Allah ou Jéovah.

Cette génération cramée, peut-être pourrait-on alors espérer que la relève se fasse ? Que Nenni. Aimables porcs auto-couronnés se goinfrent comme d’habitude à l’auge du pognon public, pour faire jouer des mercenaires étrangers ravis –et on les comprend- de prendre le fric des français, tout en écartant notre propre jeunesse des responsabilités…J’en tomberai sur le cul du 8ème si je ne vivais pas dans un pays coco, c’est-à-dire où Ubu roi, notre gentil compagnon du quotidien, nous épargne l’encombrante responsabilité de se dépatouiller avec cette chose gluante qu’on appelle la réalité.

Le plus emblématique de ces gras cochons, Paul Goze, dans une interview à la suffisance nauséabonde, expliquait cette semaine qu’il fallait arrêter de le taxer, lui et ses copains qui dirige ce sport en France, d’une quelconque responsabilité dans le naufrage absolue de l’équipe nationale. Pour un président de la ligue nationale de rugby, c’est extraordinaire de n’être en rien responsable des échecs répétés de l’équipe national, et en même temps, bien sûr, cette mentalité explique tout. L’irresponsabilité individuel. Ce graal des socialistes a donc enfin atteint le rugby.

Goze a une phrase dont la bêtise et l’hypocrisie mêlée sont un exemple pour tous les mélanchonos-sarkozo-lepenistes de France : il prend exemple de la réussite des clubs français en coupe d’Europe pour charger les entraîneurs de l’équipe de France de la culpabilité dans le coulage à pic de nos pt’its gars en bleu….Le bouc-emissariat façon Goze-Beria, ça vous cause ? Parce que, à part pour les aveugles-manchots sourds-muets gravement atteints de  déficience mentale, il échappe à peu de monde que ces clubs « français » sacrés en coupe d’Europe ne font plus jouer que des joueurs…étrangers.

Sacré Paul va, quand on aura l’urgent besoin d’un faux derche prêt à bouffer de la merde pour garder sa place de chefaillon on sait que tu seras là. Grâce à toi pas de danger concernant l’intelligence humaine : no pasaran.

On dira que j’exagère, que j’hyperbole, mais seul penseront ainsi ce qui ne connaissent pas intimement ce qu’est le rugby en France : le plus populaire des libres champs d’expression de nos compatriotes. C’est pourquoi si notre rugby est foutu alors, comme un miroir, il nous dit que c’est notre pays qui l’est.

Longue est l’histoire, indomptable est la créativité humaine, alors j’espère, oui madame j’espère…et en attendant j’éviterai pour quelque temps de regarder jouer les bleus, et ainsi de croiser le visage bouffi et vicieux de mon pays dans celui de Paul Goze, dans ce qui fût un si beau miroir, la France du rugby.

mercredi 4 février 2015

03/02/15 Se battre pour un mot




En tant qu’odieux capitaliste je suis un disciple inconditionnel de l’école Autrichienne de Ludwig Von Mises et Friedrich Hayek. L’ouvrage qui m’a le plus decillé les yeux sur la réalité culturelle de l’occident moderne est sans conteste « La route de la servitude » de Hayek. Je lis en ce moment « Revenir au capitalisme » de Pascal Salin, incarnation vivante, vivifiante et française de cette école de pensée. Le Pascalou envoie de la lourde sur les réglementateurs de tous poils en montrant comment ils génèrent sans cesse des crises économiques, de 1929 à 2008, puis accusent ensuite sans vergogne ce maudit capitalisme d’en être responsable.

Le capitalisme. Ce système diabolique que nos zélées zélites fraônçaise combattent avec leurs petits bras musclés à longueur de discours, d’interview, et autres séances de bourre mou organisés chez les rois du copié collé de comptoir, la caste journalistique qu’ils subventionnent jusqu’à plus soif, et avec laquelle ils partagent en général leurs vacances, leurs écoles, et souvent leurs lits.

Le capitalisme. Ce mot, c’est l’incarnation même du combat qu’il faut mener contre la clique étatiste vampirique qui menace le processus de civilisation. Ce mot, il me semble qu’il faut le défendre pied à pied, pouce par pouce, avec la rage de ceux qui sont acculés par l’ennemi dans fort Alamo. Derrière ce mot se cache ce que l’homme a crée de plus noble : le droit de créer et ne pas se faire déposséder du fruit de ses efforts et de son intelligence. Le droit de propriété est le socle qui permet de ne plus avoir un maître qui vous écrase sans que vous puissiez vous défendre, en un mot il est le socle qui sépare les sociétés d’esclaves des sociétés d’hommes libres. C’est avant tout cela, le capitalisme, et c’est précisément son détournement permanent par les étatistes le problème, le non-respect de son essence profonde, qui consiste à élever l’homme en le rendant maître et responsable de sa vie le plus possible.  
Réfléchissons à cela deux secondes dans une perspective historique. Si l’on devait penser à l’aune de notre morale actuelle un procès des grandes figures des siècles passés, retrouverait on beaucoup d’authentiques capitalistes dans le box des accusés, c’est-à-dire des gens qui ont proposé des croyances, des biens ou des services que leurs congénères étaient LIBRES ou PAS d’accepter, ou bien y retrouverait-on une cohorte d’individus qui ont voulu IMPOSER aux autres leurs croyances, leur conception de ce que doivent être les  biens et services consommés?

La loi de l’offre et de la demande couplée à la concurrence libre, c’est proposer un contrat qui engage dans des droits et devoirs les deux parties. Le servage, c’est obliger un humain à adhérer à un contrat dans lequel par définition même de cet acte de contrainte, il lui est dénié tous droits. Le contrat libre se fait entre deux individus. Le contrat forcé entre un maître et un autre homme rendu son objet. L’étatisme est la matrice du contrat forcé, le capitalisme est celle du contrat libre. Et je ne parle pas ici que de bijoux et de voyages en Corse, et oui madame !, mais bien de tout ce qui définit notre âme.
Voilà pourquoi ce mot est si beau, si précieux : Capitalism, the unknown ideal, comme l’a parfaitement définit la grande Ayn Rand.

 Lisez Hayek, lisez Salin, lisez Rand, et la prochaine fois qu’un de vos potes prononce comme un crachat ce beau mot, défendez le de toutes vos forces. En Ripouxblique Populaire de France encore plus qu’ailleurs, cette bataille est essentielle et vous honore.


jeudi 15 janvier 2015

15/01/15

T’es Charlie, t’es Charlie mais, ou t’es pas Charlie du tout?

T’es Charlie quand on attaque les mecs à cause de moquerie sur une religion, un élément culturel, et pas sur un élément biologique : la loi est claire là-dessus. 
Ce triste événement nous rappelle que la civilisation occidentale moderne diffère des civilisations traditionnelles de façon fondamentale sur la liberté de pensée et le droit qu'elle accorde d’exprimer sa défiance à l’égard de tout corpus idéologique. Au risque de se perdre d’ailleurs dans une liberté nue et sans valeur, qui n’en est donc plus une, car la liberté véritable est aussi vivace à l’intérieur d’un champ donné qu’elle est stricte sur les contours qui entoure ce champ, pour ne pas déborder sur la liberté d’autrui. Sed Lex Dura Lex pour toutes ces choses que toutes sociétés humaines à toujours dû réprouver pour se constituer, et que l’on peut résumer comme l’accaparement par la force du bien d’autrui. Liberté sans concession, à l’inverse, pour tout ce qui est du domaine de la croyance ou de la défiance envers un dogme.

T’es Charlie mais…quand tu penses que pour des journalistes du Figaro ou de Valeurs Actuelles, la bien pensance bobo débile n’aurait pas bougée beaucoup le petit doigt, alors que c’est bien cette idéologie d’aveugle hémiplégique qui porte une lourde responsabilité dans le manque d’appétence des jeunes français pour la liberté, en particulier sa frange identitairement mal à l’aise et issue d’une culture encore très théocratique. C’est seulement parce que les citoyens  tués dans les locaux du journal faisaient partis d’un landernau aussi réduit qu’influent que tant de battage a été fait. Sans cela combien de français seraient allés manifester dimanche ?

T’es pas Charlie…quand le camp du Bien dit « pas de citoyens FN à la manif », car une fois de plus ces petits maîtres de la doxa mediatique distribuent des certificats d’humanité aux habitants de ce beau pays. Cette enième vexation des électeurs du front national est une interdiction aussi stupide que malsaine, qui alimente fabuleusement la paranoïa dont ce parti socialiste d’extrême droite fait son miel. Cette position est à l’image des vieux croutons rancis de subventions qui en sont les auteurs. Ils se disent hommes d’état, intellectuels et journalistes, mais seraient bien incapable de vivre de leur seul talent si on donnait au peuple français le droit de ne pas leur fournir le couvert (en argent).
Cet événement doit tout au contraire être l’occasion de fendre le linceul dont ces rapaces ont recouvert la pensée et le débat en France. Nous devons vivre maintenant avec des millions d’arabes et de noirs, avec qui nous n’avons quasiment jamais eut que des échanges violents depuis des siècles, et ce jusqu’à la décolonisation algérienne il y à peu. Est-ce simple pour nous ? Sûrement pas. Est-ce facile pour eux ? Encore moins, car qui sont loin de leur matrice culturelle historique. 

La seule solution pour créer une société pacifiée, si solution il y à, impose de mettre des mots sur les maux. La sublimation freudienne marche autant pour les sociétés que pour les individus, dont elles ne sont jamais qu’une extension. Quitte à se cracher un peu à la gueule, quitte à faire quelques sacrifices douloureux, il faut se dire les choses et agir avec pragmatisme pour aménager un modus vivendi, avec comme saine limite les tables de la loi complétées de la liberté de conscience. Car un libéral est forcément aussi intransigeant sur  la capacité de l’individu à pouvoir exprimer sa liberté que sur sa limite vis-à-vis de la liberté d’autrui. Ce double mouvement d’ouverture et de restriction est le fondement même d’un équilibre des pouvoirs sains en soi, comme au sein d’un ensemble de citoyens. C’est le moi freudien, qui est une organisation du chaos pulsionnel pour qu’il ne se heurte pas trop violemment au surmoi limitateur. C’est la limitation du pouvoir de l’état à ses fonctions régaliennes, et l’application sans faiblesse du monopole étatique sur ces mêmes fonctions.

Bon rassurons-nous, hein madame, les affaires reprennent. OK. Dont acte. Mais si demain des djihadistes tuent 40 gosses dans une école ? mais si demain ils flinguent Benoït papa-mobile ? Alors je n’ose imaginer le cycle de mitraillage sortie de mosquée-sortie d’église qui s‘ensuivrait en France.  Et, un peu  paradoxalement, on peut se dire que ces salopards de djihadistes enragés y pensent, en voyant l’énorme émotion soulevée à travers tout l’occident pas leur tuerie chez Charlie.


Finissons please sur un point léger et positif, le nouveau compte pour la formation. Ce dispositif machin truc super bien énarcho élaboré - style Crédit Lyonnais mâtiné de SNCM, tu vois le truc canon quoi- va permettre aux syndicats de sélectionner les formations auxquelles vont pouvoir prétendre les heureux salariés. Quelle belle pompasse à pognon que voilà, avec d’emblée une question : vu que la formation professionnelle est déjà vérolée par des sociétés écrans appartenant à nos chères centrales mafieuses & légales, comment vont-ils bien pouvoir voler encore plus de fric ?? J’ai hâte de voir leur imagination à l’œuvre! Mais ça, c’est vraiment pas Charlie…